25 Mayıs 2016 Çarşamba

Une Opinion Désuète: La Théorie De L’évolution

Une Opinion Désuète: La Théorie De L’évolution

L’idée que la vie est le produit d’un processus de coïncidences incontrôlé et sans but, est un mythe du 19ème siècle. Considérant ce sujet sous le prisme réducteur de la science de cette époque, les évolutionnistes prétendirent que la vie était très " simple ".
lamarck
Jean B. Lamarck : La science a démenti sa théorie.
Lamarck
Il existe plus d’un million d’espèces vivant sur terre. Comment ces créatures, avec des caractéristiques entièrement distinctes et une conception parfaite, ont-elles existé? Quiconque utilise sa raison comprendrait que la vie est le travail d’une création inimitable et suprême.
Cependant, la théorie de l’évolution renie cette vérité explicite. Elle soutient que toutes les espèces sur terre ont évolué les unes à partir des autres à travers un processus basé sur des événements hasardeux.
La première personne à adopter sérieusement la question de l’évolution – une idée qui prit ses racines dans l’Ancienne Grèce – était le biologiste français Jean-Baptiste Lamarck. La théorie de Lamarck, qu’il soutint au début du 19ème siècle, considérait que " les créatures vivantes ont transmis les traits qu’elles avaient acquis durant leur vie à des générations suivantes ". Du point de vue de Lamarck, les girafes, par exemple, ont évolué d’animaux, une sorte d’antilope, qui étirèrent leurs cous plus loin encore en essayant d’atteindre les branches les plus hautes pour se nourrir. Cependant, l’avènement de la génétique réfuta de manière définitive la théorie de Lamarck.
darwin

LES DIFFICULTES DE DARWIN

Charles Darwin, un naturaliste amateur, avança sa théorie dans son livre L’origine des espèces, publié en 1859. Il avoua plusieurs points qui l’embarassaient dans le chapitre "Des difficultés sur la théorie", et espérait que ces problèmes seraient résolus dans le futur. Ce souhait, cependant, n’a abouti à rien.

 

microscopes
UN PRODUIT DE LA SCIENCE PRIMITIVE
Quand Darwin avança sa théorie, les onnaissances sur les créatures vivantes étaient très maigres. Et avec les microscopes de faible puissance de l’époque, il était impossible de voir les structures complexes de la vie.
H.M.S. Beagle
Darwin n’avait basé ses affirmations sur aucune preuve concrète ou découverte. Il a seulement émis quelques observations et quelques idées. Il effectua la plupart de ses observations sur un bateau appelé le H.M.S. Beagle qui mouillait au large de la Grande-Bretagne.
Le second à défendre cette théorie après Lamarck était un naturaliste amateur britannique, le célèbre Charles Darwin. Dans son livre L’origine des espèces, publié en 1856, il déclara que toutes les espèces descendaient, par le fait de coïncidences, d’un ancêtre commun. D’après Darwin, les baleines, par exemple, odunt évolué des ours qui essayaient de chasser dans la mer.1
Darwin avait de sérieux doutes en mettant en avant ses affirmations. Il n’était pas si sûr de sa théorie. Ainsi, il avoua qu’il y avait plusieurs points qu’il était incapable d’expliquer dans le chapitre intitulé " Des difficultés sur la Théorie ". Darwin avait espéré que ces problèmes soient résolus dans le futur avec le progrès de la science, et fait quelques prévisions. Toutefois, la science du 20ème siècle a réfuté une à une les affirmations de Darwin. Le point commun entre les théories de Lamarck et celle de Darwin était que les deux reposaient sur une compréhension primitive de la science. L’absence, à cette époque-là, de domaines variés de la science telles que la biochimie et la microbiologie, a mené les évolutionnistes à penser que les créatures vivantes avaient une structure simple qui a pu se former par hasard. Etant donné que les lois de la génétique n’étaient pas connues, il était supposé que les créatures pouvaient simplement évoluer en nouvelles espèces.
Le progrès de la science a défait tous ces mythes et a révélé que les créatures vivantes sont le travail d’une création supérieure.
 
paléontologie
LE PROBLEME DU REGISTRE FOSSILE
Lorsque Darwin a mis en avant sa théorie, ce sont les paléontologues qui s’étaient le plus opposés à lui. Ils savaient que " les formes transitionnelles intermédiaires " dont Darwin imaginait l’existence, n’avaient jamais existé en réalité. Darwin espérait que ce problème serait solutionné par de nouvelles découvertes de fossiles. Au contraire, la paléontologie invalidait chaque jour un peu plus la théorie de Darwin .


Notes

1. Charles Darwin, The Origin of Species: A Facsimile of the First Edition, Harvard University Press, 1964, p. 184

L’origine De La Vie

L’origine De La Vie

Les évolutionnistes soutiennent que les créatures vivantes se sont formées spontanément à partir de matière inanimée. Cependant, c’est une superstition médiévale contredisant les principales lois de la biologie.
Louis Pasteur
Louis Pasteur
LES CELLULES
LES CELLULES QUI SE DIVISENT
La règle la plus fondamentale de la vie est le principe qui énonce que " la vie provient uniquement de la vie ". Une forme de vie ne peut survenir que d’une autre forme de vie.
our beaucoup de gens, la question de savoir " si l’homme descend du singe ou non " vient à l’esprit lorsque la théorie de Darwin est citée. Mais avant d’arriver à cela, il y a de nombreuses questions auxquelles la théorie évolutive a besoin de répondre. La première question est la suivante : comment le premier organisme vivant est-il apparu sur terre ?
Les évolutionnistes répondent à cette question en disant que le premier organisme fut une cellule qui émergea par hasard d’une matière inanimée. Selon la théorie, à une période où la Terre consistait en roches inanimées, terre, gaz, etc., un organisme vivant se forma par hasard sous les effets conjugués du vent, de la pluie et de la lumière. Cette affirmation évolutive, toutefois, est contraire à l’un des postulats fondamentaux de la biologie : la vie ne vient que de la vie, ce qui signifie que les matières inanimées ne peuvent générer de la vie.
 
Ernst Haeckel
"LA BOUE QUI VIENT A LA VIE "
Le nom scientifique de l’image ci-contre est " Bathybius Haeckelii ", c’est-à-dire " la boue de Haeckel ". Ernest Haeckel, un fervent partisan de la théorie de l’évolution, observa la boue recueillie par un vaisseau explorateur et pensa qu’elle ressemblait beaucoup à certaines cellules qu’il avait vues sous le microscope. Alors, il affirma que c’était une matière inanimée qui se transforme en organisme vivant. Haeckel et Darwin, son associé, croyaient que la vie était assez simple pour être formée à partir de matières inanimées. La science du 20ème siècle a démontré, toutefois, que la vie ne peut jamais surgir d’un corps sans vie.
Ernst Haeckel
Croire que les matières inanimées peuvent produire la vie est vraiment une superstition médiévale. D’après cette théorie, appelée " génération spontanée ", on croyait que les souris provinrent naturellement du blé, ou bien que les asticots survinrent " spontanément " de la viande. Au moment où Darwin mettait en avant sa théorie, la croyance que des microbes, de leur propre accord, se formaient de matières inanimées, était aussi très courante.
Les résultats du biologiste français Louis Pasteur mirent fin à cette croyance. Comme il le souligna de manière lapidaire : " L’affirmation qu’une matière inanimée puisse générer de la vie est enterrée dans l’histoire pour de bon. " 2
darwinism
LA GENERATION SPONTANEE: UNE SUPERSTITION  MEDIEVALE
Une des croyances superstitieuses tenues par des alchimistes de l’époque médiévale était que les matières inanimées pouvaient spontanément donner la vie. Ils croyaient, par exemple, que les grenouilles et les poissons s’étaient formés spontanément à partir de la boue sur les lits de rivières. Il fut établi bien plus tard que cette hypothèse de " génération spontanée ", était purement et simplement une erreur. Cependant, quelques temps plus tard et avec un scénario légèrement différent, cette affabulation allait renaître sous le nom de " théorie de l’évolution ". 
Après Pasteur, les évolutionnistes continuèrent à affirmer que la première cellule vivante se forma par hasard. Cependant, toutes les expériences et recherches effectuées dans ce sens durant le 20ème siècle finirent par échouer. La formation " par hasard " d’une cellule vivante à part, est inconcevable ; il n’a même pas été possible de produire une cellule vivante par un processus conscient dans les laboratoires les plus avancés au monde.
Alexander Oparin
LE MYTHE DE " L’EVOLUTION CHIMIQUE "
L’évolutionniste de renom, Alexander Oparin, a eu l’idée d’une " évolution chimique " au début du 20ème siècle. Cette théorie soutenait que la première cellule vivante émergea par hasard à travers certaines réactions chimiques qui ont eu lieu dans des conditions terrestres primordiales. Cependant, aucun évolutionniste, y compris Oparin, n’était capable d’apporter une quelconque preuve pour soutenir l’allégation d’une " évolution chimique ". Au contraire, chaque nouvelle découverte au 20ème siècle montrait que la vie était trop complexe pour survenir par hasard. La célèbre évolutionniste Leslie Orgel admet ce fait :
(En observant les structures de l’ADN, l’ARN et les protéines), l’on pourrait conclure que la vie n’a, en fait, jamais pu survenir par des moyens chimiques .4
Pour cela, la question de savoir comment le premier organisme vivant a émergé met l’affirmation évolutive dans une situation embarrassante en premier lieu. Un des principaux défenseurs de la théorie de l’évolution au niveau moléculaire, le Professeur Jeffrey Bada avoue ceci :
Aujourd’hui, en quittant le 20ème siècle, nous faisons encore face au plus grand problème non résolu que nous avions lorsque nous entrions dans le 20ème siècle : quelle est l’origine de la vie sur la terre ?3
En infirmant la théorie de l’évolution, la règle " la vie vient de la vie " montre aussi que la première vie sur terre est également arrivée de la vie, ce qui veut dire qu’un être supérieur l’a créée. Il est le Seul qui puisse donner la vie aux matières inanimées. D’après le Saint Coran :
Du mort Il fait sortir le vivant et du vivant Il fait sortir le mort… (Sourate Ar-Roum : 19)

Notes

2. Sidney Fox, Klaus Dose. Molecular Evolution and The Origin of Life, New York: Marcel Dekker, 1997, p. 2için 
3. Jeffrey Bada, "Origins", Earth, février 1998, p. 40için 
4. Leslie E. Orgel, "The Origin of Life on Earth", Scientific American, vol. 271, octobre 1994, p. 78için 

La Conception Dans la Cellule

La Conception Dans la Cellule

Toutes les créatures vivantes sont faites de cellules. Même une seule cellule se suffit à elle-même ; elle peut produire sa propre nourriture, bouger et communiquer avec les autres cellules. Avec son extraordinaire technologie, la cellule est la preuve concrète que la vie ne provient pas par hasard.
LES CELLULES DES PLANTES
LES CELLULES DES PLANTES
En plus des cellules d’humains et d’animaux, la cellule des plantes est également un miracle de création. La cellule des plantes effectue un processus qu’aucun laboratoire n’est capable d’effectuer aujourd’hui : la photosynthèse. Un organite appelé " chloroplaste " dans la cellule des plantes leur permet de produire l’amidon en utilisant l’eau, le dioxyde de carbone et le soleil. Cette substance est la source de nourriture de toutes les créatures vivantes. Les détails de ce processus extrêmement complexe ne sont toujours pas connus aujourd’hui.
LA COMPLEXITE DE LA CELLULE  DU CERVEAU
LA COMPLEXITE DE LA CELLULE  DU CERVEAU
Le cerveau est doté de plus de 10.000 cellules qui sont en interaction constante les unes avec les autres. Ce réseau de communication est beaucoup plus complexe que toutes les centrales du monde.
La cellule, dont même une seule protéine ne peut se former par hasard, est une merveille de conception qui rend l’hypothèse de l’évolution " par hasard " complètement insignifiante. Dans la cellule, il y a des centrales énergétiques, des usines complexes, une énorme banque de données, des systèmes de stockage et des raffineries développées.
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Une cellule immunitaire
Une cellule immunitaire capturant les microbes qui se sont infiltrés dans le corps
Au temps de Darwin, rien n’était connu sur l’extraordinaire structure de la cellule. Sous les microscopes de puissance très limitée de cette période, la cellule semblait être une masse obscure. Pour cette raison, Darwin ainsi que les autres évolutionnistes de son temps croyaient qu’une cellule était une simple gouttelette d’eau qui pourrait facilement provenir par hasard. L’idée que la vie pouvait être attribuée au hasard était acceptée à cause de cette opinion scientifique primitive.
Les développements scientifiques du 20ème siècle, cependant, ont révélé que la cellule possède un système incroyablement complexe. Aujourd’hui, il est établi que la cellule, qui possède une conception aussi absconse, n’aurait pas pu provenir par hasard comme l’affirme la théorie de l’évolution. Il est certain qu’une structure trop complexe pour être imitée, même par l’homme, ne peut être le travail d’un " hasard ". Le fameux mathématicien et astronome britannique, le Professeur Fred Hoyle décrit cette impossibilité de la manière suivante :
"La possibilité que la plus haute forme de vie pourrait avoir émergé de cette façon est comparable à la possibilité qu’une tornade qui balaye sur son passage un dépôt de ferrailleur pourrait assembler un Boeing 747 à partir des matériaux qui s’y trouvent. "9
Et dans un autre commentaire, Hoyle ajoute : " En effet, une théorie pareille (que la vie était assemblée par une intelligence) est si évidente que l’on se demande pourquoi ce n’est pas largement accepté comme étant une évidence en soi. Les raisons sont psychologiques plutôt que scientifiques. " 10
cellule
UN AVION PEUT-IL SE FORMER PAR HASARD?
La cellule possède une conception tellement compliquée que le scientifique de renom, Fred Hoyle (à droite) la compare à un Boeing 747. D’après Hoyle, tout comme un avion ne peut se former par hasard, une cellule ne le peut pas non plus. De surcroît, cet exemple met en relief une vérité toute aussi importante : bien que l’homme soit capable de construire d’énormes avions en utilisant son savoir et sa technologie, il n’est toujours pas capable de produire la moindre petite cellule.

NOTES

9. Hoyle and Evolution, Nature, vol. 294, 12 novembre 1981, p. 105 için 
10. Fred Hoyle, Chandra Wickramasinghe, Evolution from Space, New York, Simon & Schuster, 1984, p. 130 için 

L’information Génétique

L’information Génétique

Saviez-vous que le noyau de chacune des trillions de cellules composant un être humain inclut une banque de donnée assez grande pour remplir une encyclopédie de 900 volumes ?
bactérie
LE MIRACLE DE LA REPRODUCTION
Une bactérie, placée dans un environnement adéquat, produira, en quelques heures, des centaines de copies similaires. En effet, chaque cellule vivante a la possibilité de " se copier ". Avant que l’on connaisse l’ADN, ce processus était inexplicable. Mais après cette importante découverte, il fut établi que chaque cellule vivante possède une " banque de données " qui emmagasine toutes les informations sur elle-même. Cette formidable trouvaille mit, une fois de plus, en exergue les merveilles de la création.
 

Francis Crick et James Watson
La structure de l’ADN fut découverte par deux scientifiques nommés Francis Crick et James Watson. Malgré que Crick soit un évolutionniste, il affirma que l’ADN n’aurait jamais pu se former par pur hasard.
oiseau
L’ADN n’inclut pas seulement le plan des cellules mais également l’organisation complète du corps des créatures vivantes. Qu’il s’agisse de la structure de nos organes intérieurs ou de la forme des ailes d’un oiseau, tout est codé dans l’ADN et ce, jusqu’au plus petit détail.
L’ADN est une énorme molécule cachée dans le noyau de chaque cellule vivante. Tous les traits physiques d’une créature sont codés dans cette molécule hélicoïdale. Toutes les informations concernant nos corps, depuis la couleur de nos yeux, jusqu’à la structure de nos organes internes et la forme et les fonctions de nos cellules, sont recensées dans des sections appelées gènes en ADN.
Le code de l’ADN est composé de séries de 4 bases différentes. Si nous attribuons à chacune de ces bases une lettre, l’ADN peut être comparé à une banque de données établie à partir d’un alphabet de 4 lettres. Toutes les informations sur une créature vivante sont stockées dans cette banque de données.
Si nous tentions d’écrire les informations de l’ADN, cela prendrait approximativement un million de pages, ce qui équivaut à une encyclopédie 40 fois plus grande que " L’Encyclopédie Britannique ", qui est l’une des plus grandes accumulations de connaissances de l’humanité. Ces incroyables données sont stockées dans le minuscule noyau de nos cellules mesurant à peu près un millier de millimètres de taille.
humaine
Il a été calculé qu’une chaîne d’ADN assez petite pour remplir une cuillère à café a la capacité d’emmagasiner toutes les informations contenues dans tous les livres jamais écrits.
Bien sûr, une pareille structure étonnante n’aurait jamais pu se former par hasard, ce qui prouve que Dieu a créé la vie. Pas étonnant que les évolutionnistes soient incapables d’apporter une explication à l’origine de l’ADN ! Cependant, ils continuent d’adopter l’hypothèse du " hasard " simplement pour garder la théorie en vie. Un biologiste moléculaire australien célèbre, Michael Denton, explique ceci dans son livre Evolution : A Theory in Crisis (L’évolution : une théorie en crise) :

LES INFORMATIONS DANS L'HELICE
La molécule d'ADN comprend des millions de paires de base organisées sous une forme hélicoïdale. Si une molŽcule d'ADN dans une seule de nos cellules venait à être dépliée, elle s'allongerait sous la forme d'une chaine sur plus d'un mètre de long. Cette chaine, pressée dans le noyau de la cellule, n'est pas plus grande qu'une centaine de milliers de millimètres avec un système " d'emballage étonnant.
L'ADN a un alphabet de 4 "lettres".


le corps humain

ADN
La composition biochimique d’une fourrure de loup, son épaisseur, sa couleur ou l’inclinaison de ses poils sont encodés dans son ADN.
L’ADN est une énorme molécule cachée dans le noyau de chaque cellule vivante. Tous les traits physiques d’une créature sont codés dans cette molécule hélicoïdale. Toutes les informations concernant nos corps, depuis la couleur de nos yeux, jusqu’à la structure de nos organes internes et la forme et les fonctions de nos cellules, sont recensées dans des sections appelées gènes en ADN.
Le code de l’ADN est composé de séries de 4 bases différentes. Si nous attribuons à chacune de ces bases une lettre, l’ADN peut être comparé à une banque de données établie à partir d’un alphabet de 4 lettres. Toutes les informations sur une créature vivante sont stockées dans cette banque de données.
Si nous tentions d’écrire les informations de l’ADN, cela prendrait approximativement un million de pages, ce qui équivaut à une encyclopédie 40 fois plus grande que " L’Encyclopédie Britannique ", qui est l’une des plus grandes accumulations de connaissances de l’humanité. Ces incroyables données sont stockées dans le minuscule noyau de nos cellules mesurant à peu près un millier de millimètres de taille.
Aux sceptiques, la proposition que les programmes génétiques des plus hauts organismes, consistant en quelque chose de près de mille millions de morceaux d’informations, équivalents à la série de lettres dans une petite bibliothèque de mille volumes, contenant dans une forme codée d’innombrables milliers d’algorithmes compliqués contrôlant, spécifiant et ordonnant la croissance et le développement de milliard et milliard de cellules sous forme d’organisme complexe, ont été composés par un processus purement hasardeux, est simplement un affront à la raison. Mais pour les darwinistes, l’idée est acceptée sans un murmure de doute – le paradigme prend le pas !"11
ADN


Chaque parcelle d'information est dérivée d'une source intelligente qui l'amène à la vie. Les fascinantes informations dans l'ADN sont une preuve de la sagesse suprême et de la puissance créative de Dieu.


NOTES

11. Michael Denton, Evolution: A Theory in Crisis, Londres: Burnett Books, 1985, p. 351

La Conception Dans la Nature

La Conception Dans la Nature

Le fait que les créatures vivantes aient des formes parfaitement conçues prouve qu’elles n’ont jamais pu provenir par hasard. La conception de la nature est un signe clair de la création.
caterpillar, snake
Ceci n’est pas la tête d’un serpent mais la queue d’une chenille ! En cas de danger, la chenille gonfle sa queue conçue pour ressembler à s’y méprendre à la tête d’un serpent afin d’intimider ses ennemis.
Que penseriez-vous si vous sortiez en randonnée dans les profondeurs d’une forêt dense et que vous tombiez sur une voiture équipée des technologies les plus modernes parmi les arbres ? Penseriez-vous que différents éléments dans la forêt se sont assemblés par hasard pendant des millions d’années et ont produit un véhicule pareil ? Toutes les matières premières requises pour la fabrication d’une voiture sont obtenues à partir de fer, plastique, caoutchouc, terre ou ses dérivés, mais ce fait vous mènerait-il jusqu’à croire que ces différents matériaux se sont assemblés " par hasard " et ont, d’eux-mêmes, fabriqué cette voiture ?
Sans aucun doute, quiconque pourvu d’un esprit sain saurait que la voiture est le produit d’une conception intelligente, qu’elle a été conçue dans une usine, et se demanderait ce qu’elle faisait là au beau milieu de la nature. La soudaine création d’une structure complexe d’une forme complète montre qu’elle est l’œuvre d’un individu intelligent. L’exemple de la voiture est aussi valable pour les créatures vivantes. En fait, la conception de la vie est trop élaborée et complexe pour être comparée à celle d’une vulgaire voiture. La cellule, l’unité de base de la vie, est bien plus compliquée que n’importe quel produit technologique issu de l’homme. De plus, cet organisme irréductiblement complexe a dû émerger subitement et ce, complètement abouti.
Pour cela, il est bien clair que toutes les créatures vivantes sont le travail d’une " conception " supérieure. Celui que l’on appelle tantôt " Grand Constructeur " tantôt " conception supérieure " n’est autre que Dieu qui a créé toutes les créatures.
fish
1. Ce poisson est doté d’un système de chasse très intéressant. Il n’utilise ce système que dans des situations spécifiques..
2. Lorsqu’il voit sa proie, il ouvre sa nageoire supérieure. Elle est conçue comme un petit poisson jusqu’à ses plus petits détails et ce, pour ne pas éveiller de méfiance.
3. La proie, attirée par le faux poisson, s’approche et devient subitement sa victime.
Face à cette vérité explicite, les évolutionnistes ont recours à un seul concept : " le hasard ". En croyant que le pur hasard puisse produire de parfaites conceptions, les évolutionnistes tutoient les limites de la raison et de la science. Le célèbre zoologue Pierre Grassé, l’ancien président de l’Académie Française des Sciences, donne son avis sur la logique du " hasard ", qui est le pivot du darwinisme :
L’apparence opportune des mutations permettant aux animaux et aux plantes de satisfaire leurs besoins semble difficile à croire. Mais la théorie de Darwin est même plus exigeante : une seule plante, un seul animal demanderait des milliers et des milliers d’événements chanceux appropriés. Ainsi, les miracles deviendraient la règle : des événements avec une infime probabilité pourraient se produire… Il n’y a pas de loi contre la rêverie, mais la science ne doit pas s’en permettre.12
hand
LA CONCEPTION DE NOS MAINS
La main humaine possède une conception parfaite qui nous donne une habileté idéale de mouvement. Chacun des 27 petits os composant la main est convenablement proportionné avec un calcul technique infaillible. Les muscles qui nous aident à bouger nos doigts se situent dans nos avant-bras afin que la dextérité de nos mains ne soit pas amoindrie. Ces muscles sont connectés par de solides tendons à 3 petits os dans nos doigts. De plus, il y a un tissu particulier dans notre poignet, tel un bracelet, qui attache tous ces tendons. La main possède une conception telle qu’aucune " main de robot " produite par la technologie moderne n’a été capable de reproduire ses étonnantes facultés.
Grassé résume ce que veut dire le concept de " coïncidence " pour les évolutionnistes :
… Le hasard devient une sorte de providence, qui, sous le couvert de l’athéisme, n’est pas nommé, mais est secrètement vénéré13
Voici le type de supercherie qui est à l’origine du darwinisme.
LES OS ET LA TOUR EIFFEL


LES OS ET LA TOUR EIFFEL
Les exemples de la conception dans la nature deviennent parfois une source d’inspiration pour des designs technologiques. Ainsi, la structure spongieuse des os humains munie de petits tendons, a largement inspiré Gustave Eiffel dans la célèbre réalisation qui porte son nom à Paris. Ce système permet la solidité, l’élasticité et la légèreté des os. Les mêmes propriétés existent également dans la Tour Eiffel, bien qu’elles n’aient pas atteint le même degré d’efficience que celles des os.
 


 

NOTES

12. Pierre-P Grassé, Evolution of Living Organisms, New York: Academic Press, 1977, p. 103 için 
13. Pierre-P Grassé, Evolution of Living Organisms, p. 107 için 

L’expérience de Miller

L’expérience de Miller

Les évolutionnistes citent parfois l’expérience de Miller comme preuve de l’exactitude de leur affirmation à savoir que la vie s’est formée par hasard dans des conditions terrestres primordiales. Cependant, l’expérience qui fut effectuée, il y a quelque 50 années, perdit son implication scientifique à causes des découvertes qui suivirent.
Miller avec son appareil expérimental
Miller avec son appareil expérimental
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LA CONFESSION DE MILLER :
Aujourd’hui, Miller aussi s’est résigné à l’idée que son expérience de 1953 était très éloignée de l’explication de l’origine de la vie.
Le chimiste américain Stanley Miller conduisit une expérience en 1953 pour soutenir le scénario de l’évolution moléculaire. Miller prétendait que l’atmosphère terrestre primordiale était composée de gaz de méthane, d’ammoniac et d’hydrogène. Il combina ces gaz dans une expérience à son compte et ajouta de l’électricité au mélange. Presqu’un mois plus tard, il observa que quelques aminoacides s’étaient formés dans le mélange.
Cette découverte suscita un grand enthousiasme chez les évolutionnistes. Dans les vingt années suivantes, certains évolutionnistes, comme Sydney Fox et Cyril Ponnamperuma, tentèrent de développer le scénario de Miller.
 
LES HYPOTHESES DE MILLERLES VRAIES CONDITIONSPOURQUOI CETTE EXPERIENCE EST-ELLE INVALIDE ?
Il utilisa dans son expérience du méthane, de l’ammoniac et de la vapeur d’eau.La terre primitive contenait du dioxyde de carbone et du nitrogène en lieu et place du méthane et de l’ammoniac.Les américains Ferris et Chen ont réitéré l’expérience avec les gaz qui existaient dans l’atmosphère primordiale. Aucun aminoacide ne fut obtenu.
Il prétendit que l’oxygène n’existait pas dans l’atmosphère primitive.Les découvertes montrent qu’il y avait une très grande quantité d’oxygène libre dans l’atmosphère primitive.Avec une telle quantité d’oxygène disponible, même avec l’hypothèse hautement improbable où les aminoacides se seraient formés, ils auraient fini par se décomposer.
Il avait mis en place un mécanisme particulier dans le but de synthétiser les aminoacides dans l’expérience. Ce procédé, appelé " le piège froid ", isolait les aminoacides de l’environnement dès qu’ils se formaient, et les préservait.Il était impossible pour le genre de mécanisme utilisé dans cette expérience d’exister spontanément dans la nature. Sous des conditions naturelles, les aminoacides sont exposés à toutes sortes de facteurs extérieurs destructeurs. Si le mécanisme de " piège froid " n’avait pas existé, la source d’étincelles et d’autres matières chimiques dégagées durant l’expérience auraient détruit les aminoacides.
Les découvertes faites dans les années 70 réfutèrent ces tentatives d’évolutionnistes connues comme " les expériences de l’atmosphère primordiale ". Il était révélé que l’hypothèse consistant à dire que " le méthane-ammoniac fondait le modèle d’atmosphère primordiale " que proposa Miller et que d’autres évolutionnistes acceptèrent, était absolument fausse. Miller choisit ces gaz à dessein, parce qu’ils étaient très pratiques pour la formation d’aminoacides.Les découvertes scientifiques, d’autre part, montrèrent que l’atmosphère primordiale était composée de nitrogène, de dioxyde de carbone et de vapeur d’eau. 14 Ce modèle d’atmosphère ne convenait en aucun cas à la formation d’aminoacides. De plus, il était établi qu’une grande quantité d’oxygène s’est produite naturellement dans l’atmosphère primordiale. 15 Ceci infirme également le scénario des évolutionnistes, parce qu’un oxygène libre décomposerait évidemment les aminoacides.
L’ATMOSPHERE PRIMORDIALE
LA CONCEPTION ERRONEE DE L’ATMOSPHERE PRIMORDIALE
Miller affirmait qu’il avait strictement reproduit les conditions d’atmosphère primordiale dans son expérience. Cependant, les gaz que Miller avait utilisés n’étaient pas comparables même vaguement aux vraies conditions terrestres primordiales. De plus, des mécanismes déterminés provoqués par Miller lui-même ont malencontreusement interféré dans son expérience. En fait, avec cette expérience, il ne réussit bien involontairement qu’à réfuter les affirmations des évolutionnistes qui soutenaient que les aminoacides avaient pu se former spontanément dans des conditions naturelles.
Au vu de ces découvertes, la communauté scientifique reconnut dans les années 80 que l’expérience de Miller ainsi que d’autres " expériences de l’atmosphère primordiale " qui suivirent n’avaient absolument aucun sens. Après un long silence, Miller avoua également que l’atmosphère qu’il avait utilisée était irréaliste. 16
L’EXPERIENCE SANS SUCCES DE FOX
L’EXPERIENCE SANS SUCCES DE FOX
Inspirés par le scénario de Miller, les évolutionnistes ont mené différentes expériences dans les années suivantes. Sydney Fox a produit les molécules que l’on voit sur l’image, les " protéinoïdes " comme il les a appelés, en combinant quelques aminoacides. Ces chaînes d’aminoacides inutiles n’avaient rien à voir avec les vraies protéines qui constituent les corps des créatures vivantes. En réalité, tous ces efforts n’ont pas seulement démontré que la vie n’était pas venue par de simples coïncidences, mais aussi qu’elle ne pouvait pas être reproduite dans des conditions de laboratoires.

De surcroît, il convient de souligner que tout ce remue-ménage n’avait été déclenché qu’en raison de la simple formation d’aminoacides alors même qu’il est impossible que ces molécules organiques basiques puissent donner lieu, par hasard, à des structures extrêmement compliquées comme les protéines et produire une cellule vivante que même l’humanité est incapable de reproduire dans nos laboratoires modernes.
Les 50 années passées depuis le temps de Miller ne servirent qu’à afficher davantage la déception à laquelle fait face la théorie de l’évolution au niveau moléculaire.

NOTES

14. J.P Ferris, C. T. Chen, "Photochemistry of Methane, Nitrogen, and Water Mixture As a Model for the Atmosphere of the Primitive Earth", Journal of American Chemical Society, vol. 97: 11, 1975, p. 2964 
15. "New Evidence on Evolution of Early Atmosphere and Life", Bulletin of the American Meteorological Society, vol. 63, novembre 1982, pp. 1328-1330 
16. "Life’s Crucible", Earth, février 1998, p. 34 

La Conception Erronée De La Sélection Naturelle

La Conception Erronée De La Sélection Naturelle

La sélection naturelle que Darwin proposa comme un mécanisme évolutif, n’avait en fait aucun pouvoir évolutif. La sélection naturelle ne peut pas former de nouvelles espèces.
SELECTION
LA SELECTION NE PEUT PAS FORMER DE NOUVELLES ESPECES
Dans la nature, les faibles individus sont éliminés et remplacés par d’autres plus forts. Toutefois, ce phénomène ne fait pas émerger de nouvelles espèces. Même si les animaux sauvages chassent les cerfs faibles et lents pendant des milliards d’années, les cerfs ne se transformeront pas en une espèce différente.
la sélection naturelle
Le livre de Darwin :L’origine des espèces, au moyen de la sélection naturelle…

les-papillons
AVANT LA REVOLUTION            APRES LA REVOLUTION
La collection de papillons montrant que les papillons noirs ainsi que les colorés vivaient dans la région avant la révolution.
Tout comme il est impossible pour la vie de surgir sur Terre par hasard, il en est de même pour les espèces de se transformer en d’autres espèces. Car aucun pouvoir pareil n’existe dans la nature. Ce que nous appelons nature est la somme d’atomes inconscients qui font la terre, les roches, l’air, l’eau et toute autre chose. Ce tas de matières sans vie n’a aucun pouvoir de transformer une créature invertébrée en un poisson, puis de le faire monter sur terre, de le transformer en reptile, ensuite de le transformer en oiseau et de le faire voler, et enfin de le rendre humain.
En affirmant le contraire, Darwin ne se base que sur un seul concept de " mécanisme évolutif " : la sélection naturelle. Elle est axée sur l’idée que ce sont les plus fortes créatures les mieux adaptées à leur habitat qui survivront. Par exemple, dans un troupeau de cerfs menacés par des animaux sauvages, ceux qui peuvent courir le plus vite survivront. Mais certainement, ce mécanisme ne ferait pas évoluer les cerfs ; il ne les transformerait pas en d’autres créatures vivantes, des éléphants par exemple.
les-papillonsL’HISTOIRE DU MELANISME INDUSTRIEL
Les évolutionnistes citent généralement l’exemple " des papillons nocturnes de la révolution industrielle " du 18ème siècle en Angleterre, comme un " exemple d’évolution observé à travers la sélection naturelle ". Selon leurs explications, lors du début de la révolution industrielle en Angleterre, la couleur des écorces des arbres autour de Manchester était plutôt claire. De ce fait, les papillons nocturnes de couleur noire qui habitaient ces arbres pouvaient aisément être aperçus par les oiseaux, ils étaient donc une proie facile vouée à l'extinction de l'espèce. Cependant lorsque les écorces des arbres noircirent à cause de la pollution de la révolution industrielle, les papillons de couleur claire devinrent la nouvelle proie et le nombre de leurs congénères noirs augmenta, le phénomène observé précédemment s’inversant. Mais ceci n’est pas un exemple " d’évolution ", car la sélection naturelle n’a pas donné naissance à des espèces qui n’existaient pas au départ dans la nature. Les papillons nocturnes de couleur noire existaient bien avant la révolution industrielle. Ici, nous voyons les papillons rassemblés par un collectionneur avant et après la révolution industrielle. Il y a seulement un changement dans le nombre d’espèces existantes. Les papillons nocturnes n’ont pas acquis un nouvel organe ni se sont transformés pour aboutir à un changement dans leurs espèces.
(Gouche) Apres La Revolution
(Droite) Avant La Revovution
Les papillons sombres et colorés existaient aussi bien avant qu’après la révolution industrielle. Une nouvelle espèce de papillons n’a pas émergé.

Il n’y a pas le moindre soupçon de preuve empirique qui montre que la sélection naturelle ait jamais causé l’évolution de créatures vivantes. Un éminent évolutionniste, le paléontologue britannique Colin Patterson, avoue ce fait :
L’HYPOTHESE DE LAMARCK
L’HYPOTHESE DE LAMARCK :
Lorsque Darwin suggéra que la " sélection naturelle fait évoluer les espèces ", il était inspiré par l’hypothèse de Lamarck concernant " l’hérédité des caractères acquis ". Selon Lamarck, les cous des girafes se sont allongés alors qu’elles essayaient d’atteindre les hautes branches pour se nourrir. Au 20ème siècle, cependant, il fut prouvé que le lamarckisme est une erreur.

Personne n’a jamais produit une espèce par les mécanismes de sélection naturelle. Personne n’en a même jamais été proche et la plupart des arguments actuels dans le néo-darwinisme portent sur cette question. 17

LE SACRIFICE CHEZ LES ANIMAUX
LE SACRIFICE CHEZ LES ANIMAUX
La théorie de l’évolution de Darwin au moyen de la sélection naturelle reposait sur la supposition que toutes les créatures vivantes mènent une bataille féroce pour la survie. Les observations ont montré toutefois que les animaux étaient capables de faire preuve de sacrifice et de coopération étonnants. Les bœufs sauvages qui forment un cercle pour protéger leurs petits ne sont qu’un exemple parmi tant d’autres du sacrifice de soi dans la nature.

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NOTES

17. Colin Patterson, "Cladistics", BBC, Interview avec Brian Leek, Peter Franz, 4 mars 1982